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Il faut s’informer en dehors des medias d’Etat ou subventionnés par l’Etat
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Les traitements qui fonctionnent … et qui ne sont pas autorisés en France
Nicolas Dupont Aignan: « Il y a depuis un an des indices concordants, précis qui montrent que l’administration de la santé a bloqué des médicaments qui auraient permis de sauver des vies ».
Il demande une commission d’enquête pic.twitter.com/koaEJmwXa6
FranceSoir poursuit son tour du monde des traitements précoces à travers des interviews de médecins reconnus dans leurs pays et ayant traité plusieurs milliers de patients atteints du covid :
– au Nigéria, interview du Pr Femi Babalola : « ils jouent avec la politique, pas vraiment concernés par les patients »
– au Bangladesh, interview du Dr Khan: l’ivermectine marche aussi
– au Mexique, des politiques de traitement diverses selon les états
– au Portugal, un médecin sur deux prescrirait l’ivermectine
et on mentionne aussi la colchicine:
CENSURE DES MEDECINS ET DES SCIENTIFIQUE SUR LES TRAITEMENTS
Peter McCullough professeur de médecine Université du Texas Impliqué dans la réponse COVID très impliqué dans la recherche,rédacteur en chef de deux revues majeures.Dans son domaine il est la personne la plus publiée de toute l’histoire:
Pour les personnes de moins de 50 ans qui n’ont pas de problèmes de santé,il n’y a pas de justification scientifique pour eux d’ètre vaccinés, il n’y a aucune justification scientifique.
Une des erreurs de justification officielle est la propagation par les asymptomatiques alors qu’il y à un très faible degré sinon aucun ,d’une propagation asymptomatique.
Une personne malade transmet à une personne malade.
British Médical Journal: sur 11 million de personnes n’a pas trouvé de propagation asymptomatique.Et cela à été l’un des éléments importants de désinformation.
Ce qui se passe est inimaginable.Combien d’entre vous ont regardé les médias national ou local et obtenu une mise à jour des traitements à la maison ?Combien d’entre vous ont déja entendu un seul mot sur quoi faire quand on vous remet un diagnostique COVID autre que: « restez chez vous et prenez du Dolipranne »?
C’est un échec complet à tous les niveaux. Il n’y a pas un seul médecin dans les médias qui à traité un patient COVID.
Nous savions qu’il allait y avoir un vaccin pour ce virus.Tous les efforts sur les traitements ont été abandonnés.
Les agences de santés avaient un programme de multimédication, ils ont laissé tomber, affirmant qu’ils ne pouvaient trouver plus de 20 patients. Disant « on ne peut trouver des patients ».C’est l’annonce la plus malhonnête de tous les temps.
Nous avons basculer dans le tout vaccin avec un silence total sur toute information de traitements. Un blackout total sur Twitter, Youtube.. On ne peut même pas publier des articles à ce sujet.On ne peut même pas publier de l’information dans notre propre littérature médicale.Il y à eu une censure complète.
J’ai donc fait une vidéo Youtube avec quatre diapositives d’une étude publiée dans l’un des meilleurs journaux dans le monde.Cette vidéo est devenue virale en une semaine et Youtube à dit que j’avais violé les termes et les conditions de la communauté. C’est la que le sénateur Johnson s’est impliqué à Washington. Il à dit: « Mon dieu c’est de l’information scientifique importante pour aider les patients au milieu d’une crise et les médias sociaux censurent ! » Basé sur quelle autorité ?
Les gens atteints de la covid développent une immunité complète et durable.C’est un principe important. Une immunité complète et durable.Vous ne pouvez pas battre l’immunité naturelle.Vous ne pouvez pas vacciner et la rendre meilleur. Il n’y a aucune justification scientifique ou clinique pour vacciner un patient guéri. Il n’y a aucune justification pour tester un patient guéri.
Le meilleur médicament anti inflamatoire est la Colchicine.Vous en avez probablement jamais entendu parler.
Dans la plus grande étude d’essais randomisés. Plus de 4000 patients.Il y a une réduction de 50% de la mortalité. SILENCE TOTAL.Rien .Un blackout complet du médicament.Comment est-ce possible ?La partie la plus mortelle de l’infection virale est la thrombose. J’ai toujours traité mes patients avec quelque chose pour le virus, quelque chose pour l’inflammation et quelque chose pour la thrombose. Comme le Dr Urso. J’ai des patients très, très malade, et j’en ai perdu que deux.
Une très grande étude de McKinney (TEXAS) et une autre de New York montrent que lorsque les médecins traitent les patients tôt, de plus de 50 ans avec comorbidités, 4 à 6 médicaments sont à leur disposition,dont les MBR monoclonaux,il y a une réduction de 85% des hospitalisations et des décès.
85% .Rappelez vous de ce chiffre.
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“Les raisons, simples et claires, pour lesquelles je ne me ferai pas vacciner contre la COVID-19”, par l’anthropologue et chercheur Jacques Pollini
Sur la planète entière, les gens sont en train de débattre pour savoir s’ils vont se faire vacciner contre la COVID-19. Est-ce un débat ou une guerre de tranchées ? Il semble que l’on soit plutôt dans la deuxième situation. Comment en sortir ? Comment établir enfin un dialogue permettant à chacun de quitter son retranchement et faire un choix informé ? Il me semble que pour sortir de l’impasse, il faut réaliser que deux questions distinctes, mais liées, se posent : celle de l’efficacité et l’innocuité des vaccins, qui est une question scientifique, et celle de la confiance envers les décideurs, qui est une question politique.
Pour la première question, seules quelques poignées d’individus peuvent répondre. Un citoyen ordinaire ne dispose pas des compétences techniques lui permettant de juger si les vaccins COVID-19 seront efficaces et inoffensifs ou pas. Notre choix ne pourra donc se baser que sur la réponse que nous donnons à la deuxième question, c’est-à-dire sur notre confiance envers nos décideurs.
Cette question se pose de manière particulièrement aiguë car la technologie utilisée dans ces vaccins est nouvelle. Il s’agit de vaccins à ARN, c’est-à-dire que des fragments de code génétique seront injectés dans notre organisme, l’objectif étant que les protéines virales codées par cet ARN soient produites par les cellules de notre organisme, déclenchant ainsi une réponse immunitaire (Ulmer et al. 2012).
Cette technologie soulève de nombreuses interrogations, notamment concernant le risque que des fragments d’ARN contenus dans les vaccins soient transcrits en ADN et s’intègrent à notre génome (Velot 2020). L’intégration de code génétique étranger à l’ADN de cellules hôtes est un phénomène qui se produit couramment, comme le montre le fait que l’ADN humain contient des séquences héritées de virus. Des chercheurs ont d’ailleurs déjà découvert des ARN chimériques humains/SARS-CoV-2, laissant penser que des fragments d’ARN de SARS-CoV-2 (le virus qui transmet la COVID-19) auraient été transcrits et intégrés à l’ADN de cellules humaines (Zhang et al. 2020). Ce risque associé aux vaccins à ARN n’est donc pas quelque chose de nouveau.
Une chose est nouvelle, toutefois. Dans la nature, l’intégration de fragments de codes génétiques étrangers au génome humain n’est pas liée à une intention humaine. Elle est le fruit du hasard ou de nécessités naturelles, tandis qu’avec la vaccination, il devient possible de choisir quel code injecter et sur quelle population l’injecter. Le vaccin à ARN, et les thérapies géniques de manière plus générale, rendent donc possible de modifier intentionnellement le code génétique humain. L’ingénierie entre dans une ère nouvelle dans laquelle elle ne porte plus seulement sur la transformation de l’environnement humain, mais peut porter sur la nature humaine, sur notre identité génétique. C’est là que se trouve le virage fondamental et il soulève des questions éthiques qui sont négligées dans les débats en cours sur les vaccins.
Bien sûr, cela ne signifie pas que les vaccins COVID-19 modifieront notre génome ou que ceux qui les ont conçus ont cette intention. Mais presque personne n’a la compétence technique ou le pouvoir juridique permettant de vérifier ces deux points. Nous n’avons donc que la confiance, accordée ou pas aux décideurs, et a ceux qui ont développés ces vaccins, pour guider notre décision.
D’autre part, l’impact sur notre génome n’est qu’un des problèmes possibles. La facilitation de l’infection par les anticorps après la vaccination (Lee et al. 2020), phénomène déjà observé dans le cas d’un vaccin contre la dengue (Normile 2017) et qui peut conduire à des formes plus graves de la maladie, est souvent discutée. A noter que si une telle facilitation d’infection avait lieu, l’opprobre serait sans doute jeté sur les non vaccinés puisqu’ils faciliteraient la circulation du virus et donc les réinfections. Un autre risque serait le développement de pathologies immunitaires en cas de réinfection par le virus après vaccination, phénomène observé sur les souris (Tseng et al. 2012). Le risque de réaction auto-immunes vis-à-vis de protéines placentaires, qui pourrait causer des stérilités, a également été évoqué, du fait de la similitude entre certaines protéines virales et placentaires. La liste des risques possibles est sans doute plus longue et certains médecins considèrent que les garanties apportées par les études réalisées par les fabriquant de vaccins ne sont pas suffisantes.
Enfin, nous n’en sommes pas à la première controverse sur les vaccins. La question des liens entre autisme et vaccins n’a toujours pas été clarifiée et aussi longtemps que le lanceur d’alerte Thompson, qui a dévoilé le masquage de ce problème par des autorités en charge de la santé aux USA, ne sera pas convoqué au Congrès américain pour témoigner sous serment, la confiance envers les vaccins et les firmes qui les fabriquent ne pourra pas être établie. Une autre affaire non élucidée concerne des vaccins contre la polio, administrés en Inde avec l’appui de la fondation Bill Gates, qui pourraient avoir causé des paralysies chez près de 500,000 enfants (Dhiman et al. 2018). Un vaccin contre la dengue développé par SANOFI et l’Institut Pasteur a également provoqué des décès aux Philippines, du fait d’une facilitation de l’infection pas les anticorps, phénomène évoqué ci-dessus.
Tout argument en faveur des vaccins COVID-19, entendu dans les médias, les instances de décisions, ou les réseaux sociaux, qui consisterait à invoquer des arguments techniques ou scientifiques pour nous convaincre que ces vaccins sont sûrs, est donc hors sujet car la question centrale est celle de la confiance, qui est perdue et pour de bonnes raisons. Sans cette confiance, ces arguments techniques ne peuvent conduire qu’à des polémiques stériles d’autant plus que pratiquement personne, voire personne, ne peut réellement trancher. Personnellement, comme beaucoup de citoyens, je n’ai pas cette confiance. Donc je ne me ferai pas vacciner. Pourquoi je n’ai pas cette confiance ? Pour les raisons mentionnées si dessus, mais aussi parce que depuis 10 mois, notre gouvernement a fait preuve d’une incompétence totale dans cette épidémie, son conseil scientifique se montrant anti-scientifique en niant ou ignorant les acquis de la science. Et parce que les algorithmes des réseaux sociaux et les « fact-checkers » sont devenus des instruments de censure et de propagande qui maintiennent nos administrations et nos médias dans le déni des faits rapportés par la science.
Pour illustrer ce déni des faits scientifiques, j’aborderai la question des traitements précoces, que j’ai suivie de près. A ce jour, plusieurs traitements précoces contre la COVID ont montré leur efficacité. Il y a eu d’abord l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine et au zinc ; puis l’azithromycine seule ou d’autre antibiothérapies ; puis l’ivermectine associée à la doxycycline ; puis la prévention par la vitamine D voire le zinc ; et enfin d’autres molécules révélées récemment comme la fluvoxamine (Lenze et al 2020) ou la bromhexine (Ansarin et al 2020). Le point commun de ces approches est qu’elles consistent à repositionner des molécules peu couteuses et déjà connues, non protégées par des brevets, et que les traitements doivent être apportés très tôt, dès la déclaration des premiers symptômes, pour avoir leur maximum d’efficacité. Des centaines de publications, dont la liste est disponible sur ce site, ont montré l’efficacité de ces traitements, les plus prometteurs étant la combinaison azithromycine/hydroxychloroquine (Risch 2020), et l’ivermectine (Kory et al. 2020), éventuellement associée à la doxycycline, traitement dont on n’entend parler ni au niveau des autorités de santé ni au niveau des médias. D’après ces publications, l’efficacité de ces traitements est telle que s’ils étaient utilisés, il n’y aurait besoin ni de confinement généralisé, ni de vaccination généralisée. La gravité de la pandémie COVID-19 deviendrait celle d’une épidémie de grippe. Malheureusement, la censure par les algorithmes des réseaux sociaux et le discrédit par les médias et les « fact-checkers » ont rendu ces résultats quasiment inaudibles, malgré des tentatives de « fact-checking » des « fact-checkers » !
Comment a-t-on pu en arriver là ? Ne soyons pas naïfs. Le repositionnement de molécules ne génère pas de profits élevés pour l’industrie pharmaceutique, contrairement aux molécules nouvelles telles le remdesivir qu’elle a réussi à nous vendre malgré l’absence de preuves de son efficacité, et contrairement aux vaccins. Cette logique mercantile, qui a été à l’œuvre dans la pandémie et qui nous a privé de traitements, débouchant sur des centaines de millier de morts inutiles, est un crime contre l’humanité et les responsables devront être jugés. Je ne vois pas pourquoi la même logique n’agirait pas dans le cas des vaccins. Je ne vois pas pourquoi l’industrie pharmaceutique ne ferait pas passer ses profits avant l’intérêt des patients. Je ne vois pas comment je pourrais lui faire confiance quant à l’innocuité de ses produits, d’autant plus que les vaccins ont été développés très rapidement, et que leurs effets secondaires dans le long terme n’ont pas été évalués puisque les tests ont démarré il n’y a que quelques mois. L’industrie pharmaceutique est en outre exemptée d’indemnisation des patients en cas d’effets secondaires aux USA, ou cela était déjà la norme, et devra être indemnisée par les états membres en Europe si certains types de problèmes, non spécifiés, apparaissent, dans le cadre d’accords spéciaux et en dérogation aux règles habituelles.
Ainsi, à toute personne qui tenterait de me convaincre de me faire vacciner contre la COVID-19, je répondrai, clairement et simplement :
« Si c’est ma santé qui vous préoccupe, donnez-moi de l’azithromycine et de l’hydroxychloroquine, ou de l’ivermectine et de la doxycycline, ainsi que de la vitamine D et du zinc, car je sais, publications scientifiques et témoignages de médecins de renommée internationale à l’appui, que ces traitements fonctionnerons si j’attrape la COVID-19, et je n’ai donc pas besoin d’être vacciné. Si vous n’êtes pas convaincu par ce que je dis, voici la liste des publications sur le sujet : c19study.com. Si vous n’êtes toujours pas convaincu, lancez des essais randomisés testant ces traitements en médecine ambulatoire. Et si vous voulez que les gens fassent à nouveau confiance aux vaccins, mobilisez des commissions d’enquêtes indépendantes pour mesurer leurs liens possibles avec l’autisme et permettre aux lanceurs d’alerte de témoigner sous serment. Et dans la foulée, demandez la mise en œuvre d’une vaste enquête internationale sur les liens et conflits d’intérêt entre industrie pharmaceutique et pouvoirs publics ».
Il y aurait beaucoup à dire sur les vaccins contre la COVID-19 mais je m’arrêterais la, car ces arguments, aussi simples soient-ils, me paraissent irréfutables et suffisants pour justifier un refus de se faire vacciner. Sans doute nos gouvernants ne voudront pas les entendre, car choisir l’ivermectine et la doxycycline plutôt que les vaccins, c’est supprimer, dans la fraction de seconde où se fait ce choix, les centaines de milliards de dollars de profits que l’industrie pharmaceutique et ses actionnaires se préparent à recevoir. Ces gens feront bien évidement tout ce qu’ils peuvent pour empêcher toute décision en défaveur des vaccins. J’espère donc que nous serons nombreux à partager cette résistance non pas aux vaccins (je ne suis absolument pas un anti-vaccin) mais a ce vaccin dans ce contexte. Nous devons faire entendre raison à nos gouvernants afin de rendre enfin disponible, massivement, les traitements contre la COVID-19, ce qui rendrait la vaccination inutile ou quasiment-inutile, pour une prise en charge précoce des patients COVID-19, notamment dans les maisons de retraite ou ils continuent de mourir non pas de la COVID-19, mais des erreurs de décideurs et Comités qui n’ont pas pris le temps de lire la littérature scientifique.
Source: agoravox.fr/…ibre/article/les-raisons-simples-et-claires-229640
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Pourquoi a-t-on priviélgié les tests PCR sur des tests mieux adaptés ?
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De plus en plus de médecins intègres osent s’exprimer malgré les sanctions
Professeur Peyromaure : un discours courageux
Le docteur Sucharit Bhakdi : Covid 19 fausse alerte
Et le très respectable professeur Perronne qui vient de sortir un nouveau livre
Mais aussi des généralistes plus motivés par la santé de leurs patients que par l’argent
Hélas l’appât du gain détourne certains de leur serment d’Hippocrate
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L’outil de contrôle total en marche avec l’UE : Le pass sanitaire
La liberté piétinée au prétexte de la pseudo pandémie
La liberté n’est plus la norme depuis un an
André Comte Spoville s’en alarme IMG_7231
La censure sévit sans limite sur les réseaux sociaux : deux exemples
– Facebook a censuré mon chat qui y porte ma parole pendant 24 h parce que mon chat avait dit que les français sont des moutons.
Ce célèbre médecin américain qui dit une évidence avec une parfaite argumentation à l’appui : inutile de vacciner les jeunes … est censuré !
Pire encore : ils ont de nouveau arrêté le Professeur Fourtillan . La vérité les rend fous
Malgré la baisse des contaminations, un nouveau confinement est décidé !
Car il faut absolument fourguer ce que j’appelle le « vac pas sain » … Ecoutez cette vidéo qui honore les porte voix de la résistance
Pour conduire les peuples au puçage et au traçage et les amener à subir le « vaccin » tous les moyens sont bons
Certificat sanitaire : la folle dérive totalitaire de l’Europe
Heureusement des tribunaux demandent de plus en plus l’annulation des mesures
Et ce n’est, je l’espère que le début !
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Merci à ces associations qui travaillent pour notre défense et celle de nos libertés
REACTION 19
Merci à Maître Carlo Brusa qui ne ménage pas ses efforts !
Son dernier discours sur Facebook
Pour la plainte en cours contre les masques qui asphyxient nos enfants et pour une très grande contribution à l’éveil des français
REINFOCOVID
Merci à Louis Fouché qui contribue à rétablir la vérité scientifique noyée sous le flot des mensonges d’Etat et des médecins de plateaux inféodés aux laboratoires
une des récentes vidéos
et une lettre de Louis au nom du Collectif
« Toute l’équipe de Reinfocovid adresse un grand MERCI à tous ses contradicteurs et au Coronavirus.
Tout d’abord chapeau bas à tous ceux qui ont réussi à transformer le Coronavirus en « crise sanitaire mondiale », en « pandémie globale. Merci aux médias alarmistes, merci aux politiques dictatoriaux, merci aux scientifiques corrompus ou dogmatiques.
Nous tenons par cet article à leur exprimer toute notre gratitude. Gratitude qui vient du mot « grâce ». Oui nous avons été touchés par la grâce, grâce à vous.
Cette crise est une révélation, un dévoilement, une apocalypse. Et après l’apocalypse vient un autre monde. Nous ne reviendrons jamais au monde d’avant, n’en déplaise à ceux qui s’y accrochent encore.
Depuis plusieurs années, nous sentions bien que plusieurs choses « clochaient » dans ce monde. Pris par la vie de tous les jours avec ce sentiment confus d’un « quelque chose » qui n’allait pas, nous errions sans vraiment comprendre, nous raccrochant à ce monde vicié pour éviter la douleur de s’en détacher. Heureusement, le virus et son narratif burlesque envahissant la surface du globe est arrivé, nous arrachant nos oeillères, nous laissant contempler le désastre.
D’abord, nous avons essayé de comprendre. Je peux vous le dire, nous n’avons jamais autant travaillé. Et je vais vous faire mal : nous sommes tous bénévoles ! Nous avons épluché tous les articles de sciences, toutes les informations, lois, décrets, ordonnances. Nous avons lu toutes les informations, celles des médias mainstream comme celles des « complotistes ». Nous avons appris à maîtriser internet, les réseaux sociaux, la communication, le graphisme, la communication non violente… Nous avons écrit, filmé, publié, coordonné, dessiné, chanté, dansé créé des œuvres d’art. Nous nous levons aux aurores et nous couchons lorsque nos yeux se ferment.
Vous vouliez nous appauvrir, vous nous avez tant enrichis : nos connaissances sont plus grandes, nous nous sommes découverts de nouveaux talents. Nous avons repoussé nos limites : plus que jamais nous sommes emplis d’espoir, de courage et d’allégresse.
Vous vouliez notre mort mais nous nous sentons plus vivants et rayonnants que jamais.
Vous vouliez nous désespérer, nous n’avons plus besoin d’espoir pour entreprendre.
Grâce à vous, nous avons pu cerner ce que nous ne voulions pas.
Nous ne voulons pas vivre masqués.
Nous ne voulons pas vivre en nous méfiant les uns des autres.
Nous ne voulons pas vivre dans la culpabilité hypothétique de « donner la mort » à nos proches en transmettant un virus.
Nous ne voulons pas vivre vaccinés de force tous les mois pour tous les virus qui sont ou viendront.
Nous ne voulons pas de passeport sanitaire, de reconnaissance faciale, nous ne voulons pas vivre fichés.
Nous ne voulons pas être incarcérés dans nos domiciles.
Vous vouliez nous séparer. «Attention, distanciation sociale: 1m, puis 1m50, puis 2m avec les nouveaux variants ».
Vous nous avez rassemblés.
Vous vouliez nous faire peur, nous sommes sortis de la caverne. Jouez tous seuls avec vos ombres.
Vous vouliez nous abrutir devant la télévision, nous l’avons éteinte et demain nous jetterons devant nos seuils tous vos biens de consommation à l’obsolescence programmée.
Vous vouliez nous imposer le passeport sanitaire, nous surveiller, nous reconnaître facialement, nous pucer peut-être ? Nous avons faim de liberté.
Vous vouliez nous vendre des médicaments couteux à l’efficacité et à la sécurité douteuse ? Nous arpentons d’autres chemins de santé.
Vous vouliez nous imposer votre vision du monde, marchande et basée sur la dette éternelle, la dépossession intégrale, jusqu’à celle de nos propres vies ? Nous posons les premières pierres d’un autre monde enthousiasmant basé sur la gratitude, la joie et la présence à l’autre.
Alors un immense merci à vous pour tous ces bienfaits. »
BON SENS
En particulier pour ses communications, en lien avec France Soir sur les traitements et les dangers des « vaccins »
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Hommage à notre président !
Recette pour détruire un pays :
– transformer une mauvaise grippe en peste noire.
– Empêcher les gens de vivre et de travailler en leur disant que c’est pour leur bien . –
– Endetter des générations pour « aider » ceux qu’on veut tuer.
– Piller la sécu pour des essais de thérapie à haut risque .
Objectif atteint.
Chapeau l’artiste!
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