Et c’est reparti … jusque fin 2020

Première mission de cette nouvelle série du 14 au 21 octobre au Burundi !

Voeux 2018

Dernier soir à Nairobi

Formations à Antibes : Le jour du départ

Et participation au nouvel appel d’offres en appui à GFA

A noter et à feuilleter

un excellent ouvrage sur les Mathématiques, de Hervé Lehning.

Il paraît le premier novembre mais on peut déjà le feuilleter sur le site de Flammarion : 

http://editions.flammarion.com/Catalogue/hors-collection/sciences/toutes-les-mathematiques-du-monde

Voici maintenant deux ans que ma résidence principale est à Antibes, dans une villa qui se dénomme « Sources » . Le siège de la société y a été transféré à mi  2015

Après un exercice 2015 largement perturbé par ce déménagement personnel et professionnel, les activités ont repris en 2016 et se sont intensifiées en 2017 mais sans changement notable jusqu’à présent, comportant essentiellement des missions à l’international.

Cet été marque une orientation différente, qui s’inscrit dans le développement des formations à distance : Nous accompagnons nos clients de trois manières :

• sur le terrain toujours, mais avec une volonté de diminuer les missions dans des pays pas toujours très sûrs,
• au siège d’Antibes : nous y accueillons des petits groupes de stagiaires
• à distance (avec des équipements de télédiffusions au siège de la société)

Le site d’Antibes, un des plus beaux de notre pays, exerce un attrait certain sur les stagiaires du monde entier, africains, asiatiques notamment.

Le premier séminaire s’est déroulé du 20 au 26 août 2017 avec deux cadres de l’ONEA, une chef comptable et un contrôleur de gestion. Voici quelques photos de l’évènement.

Deux autres séminaires sont programmés cette année, avec des cadres burundais. En décembre en principe.

Nous vous attendons sur le stand pour vous dévoiler la cryptographie, ou science du secret. Du 27 au 30 mai 2017 Place St Sulpice

AnnonceStandSalon2017

Deux fois dans ma vie j’ai dû encaisser un gros coup dur. L’avant dernière fois, c’était en 2003. Et de nouveau la semaine dernière.

Et je réalise que seul le travail peut permettre de relativiser, de ne pas centrer tout un univers autour d’une déception, fut-elle très lourde.

Le travail permet non seulement de se sentir utile, mais aussi de ne pas ruminer inlassablement les échecs de notre vie.

De continuer à vivre ou du moins à survivre. De penser à autre chose qu’au coup de massue qu’on vient de nous donner. Les premiers jours sont les plus difficiles, surtout quand l’entourage n’est ni présent ni compréhensif.

Puis la tristesse s’estompe, se refoule, on évite de regarder des photos, de prononcer un nom, de parler de la personne qui nous a déçus. De se demander où et quand on a fauté, pourquoi on n’a pas vu venir le désastre. De « faire son deuil » de la personne aimée ou chérie.

Quelques mois plus tard, on sort renforcé de l’épreuve. Ce fut le cas en 2003 et j’ai confiance de survivre encore cette fois.

« Attendez que ma joie revienne… » une si belle chanson de Barbara à écouter en boucle pour ne pas sombrer.

Début des missions visant à permettre à mes correspondants Burundais de prendre en main l’outil de comptabilité analytique élaboré pour eux.

Bien que le Burundi soit un pays superbe, les conditions  de sécurité ne permettent pas l’envoi d’experts internationaux…. Alors la formation se déroule à Nairobi où ils sont maintenant réunis.

Quelques photos…